Guido Monte/Vittorio Cozzo prologue of "Nothing recalled and the misterious life of God" (2000)
Painting of a crowd praying before the sun, a painting hidden inside a little medal which safeguards the whiteness of centuries in Milan's oldest square - the square of a solitary day of sunlight, fragment of other lights. Dream of a crowd, of nothing, of vanity le rêve devient petit et lui aussi un autre néant, le manque de choses et de pensées pour se voir audenans, pour des êtres dont le destin (inconnu pour eux) est renfermé dans une larme intérieure, dans la fumée d'une chambre perdue, dans une terre humide, de visages effrayés et verres cassés, macerie di sangue umano che nessuno conosce ruins of human blood nobody knows. (translated by Giovanni Panzica, Patrick Waites and Rosa Maria Costa)
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